dimanche 2 novembre 2014
Agir pour éviter un dérèglement climatique désastreux.
Le secrétaire général de l'ONU
Ban Ki-moon a estimé dimanche à Copenhague, à l'occasion de la
publication du nouveau rapport de référence sur le climat, que "l'action
contre le changement climatique peut contribuer à la prospérité
économique".
Climat: «Agir contre le réchauffement peut contribuer à la prospérité»
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a estimé dimanche à Copenhague, à l'occasion de la publication du nouveau rapport de référence sur le climat, que «l'action contre le changement climatique peut contribuer à la prospérité économique».
«L'action contre le réchauffement peut contribuer à la prospérité économique, à une meilleure santé et à des villes plus vivables», a déclaré Ban Ki-moon, lors de la conférence de presse des experts du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec).
«C'est l'évaluation la plus complète du changement climatique jamais faite», a souligné le responsable onusien qui s'est fortement impliqué dans la lutte pour réduire le réchauffement. M. Ban a organisé le 23 septembre un sommet à l'ONU consacré au climat, auquel avaient participé près de 120 chefs d'Etat et de gouvernement.
«J'ajoute ma parole politique à celle des scientifiques qui ont travaillé très dur», a-t-il dit dimanche.
Cette nouvelle évaluation de l'état des connaissances sur le changement climatique est la cinquième publiée par le Giec après celles de 1990, 1995, 2001 et 2007.
Elle démontre qu'il faut agir sans attendre pour réduire les émissions de CO2 et éviter un emballement du système climatique, qui se réchauffe à une vitesse inédite.
Le rapport doit servir de base scientifique aux responsables politiques dans les négociations internationales qui doivent aboutir fin 2015 à Paris à un accord global.
Avant Paris, les 195 pays membres de la Convention de l'ONU sur le climat (CNUCC) se retrouveront à Lima en décembre pour la conférence annuelle qui doit permettre de tracer les grands lignes du futur accord.
Christiana Figueres, la secrétaire général de CNUCC, a salué dimanche dans un communiqué le travail colossal produit par des centaines de chercheurs du monde entier.
«Le Giec a et va continuer à jouer un rôle crucial en mettant en avant la base scientifique sur laquelle peuvent se baser les politiques de transformation nécessaires pour aller vers un monde à basses émissions de carbone et éventuellement sans carbone», a-t-elle dit.
Ban Ki-moon a également abordé la nécessité de se détourner des énergies fossiles. «Je tente de convaincre les entreprises (...) telles que les fonds de pension et les compagnies d'assurance» de «réduire leur investissement dans le charbon, dans l'économie basée sur les énergies fossiles et de se tourner vers les énergies renouvelables».
Planète
Climat: «Agir contre le réchauffement peut contribuer à la prospérité»
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a estimé dimanche à Copenhague, à l'occasion de la publication du nouveau rapport de référence sur le climat, que «l'action contre le changement climatique peut contribuer à la prospérité économique».
«L'action contre le réchauffement peut contribuer à la prospérité économique, à une meilleure santé et à des villes plus vivables», a déclaré Ban Ki-moon, lors de la conférence de presse des experts du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec).
«C'est l'évaluation la plus complète du changement climatique jamais faite», a souligné le responsable onusien qui s'est fortement impliqué dans la lutte pour réduire le réchauffement. M. Ban a organisé le 23 septembre un sommet à l'ONU consacré au climat, auquel avaient participé près de 120 chefs d'Etat et de gouvernement.
«J'ajoute ma parole politique à celle des scientifiques qui ont travaillé très dur», a-t-il dit dimanche.
Cette nouvelle évaluation de l'état des connaissances sur le changement climatique est la cinquième publiée par le Giec après celles de 1990, 1995, 2001 et 2007.
Elle démontre qu'il faut agir sans attendre pour réduire les émissions de CO2 et éviter un emballement du système climatique, qui se réchauffe à une vitesse inédite.
Le rapport doit servir de base scientifique aux responsables politiques dans les négociations internationales qui doivent aboutir fin 2015 à Paris à un accord global.
Avant Paris, les 195 pays membres de la Convention de l'ONU sur le climat (CNUCC) se retrouveront à Lima en décembre pour la conférence annuelle qui doit permettre de tracer les grands lignes du futur accord.
Christiana Figueres, la secrétaire général de CNUCC, a salué dimanche dans un communiqué le travail colossal produit par des centaines de chercheurs du monde entier.
«Le Giec a et va continuer à jouer un rôle crucial en mettant en avant la base scientifique sur laquelle peuvent se baser les politiques de transformation nécessaires pour aller vers un monde à basses émissions de carbone et éventuellement sans carbone», a-t-elle dit.
Ban Ki-moon a également abordé la nécessité de se détourner des énergies fossiles. «Je tente de convaincre les entreprises (...) telles que les fonds de pension et les compagnies d'assurance» de «réduire leur investissement dans le charbon, dans l'économie basée sur les énergies fossiles et de se tourner vers les énergies renouvelables».
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